Histoire, origine et bienfaits du massage traditionnel thaïlandais*
L’origine du massage traditionnel thaïlandais ( Nuad Bo Rarn )
est étroitement liée à l’histoire du peuple thaïlandais,
à l'émergence de leur culture unique et de leurs valeurs traditionnelles.
A la croisée des principales routes commerciales de l’Asie, la culture thaïlandaise a hérité de la rencontre
des techniques ayurvédiques de l’Inde et des techniques traditionnelles chinoises.
Le massage initialement pratiqué par la communauté des moines bouddhistes, fait partie de l’un des 4 domaines
d’applications de la médecine traditionnelle thaïlandaise qui comprend la guérison médicinale, l'obstétrique,
la médecine orthopédique et le massage traditionnel.
Le massage traditionnel thaïlandais est basé sur 2 théories :
La théorie des Sen-Sib et la théorie des 4 éléments.
Le massage traditionnel thaïlandais consiste en acupressions
( pressions des doigts ) orientées selon les Sen-Sib
( les 10 principaux canaux d’énergies /ou méridiens ), combinées à des étirements le long du corps.
Le praticien s'applique à tirer profit de toutes les ressources qui lui sont offertes afin d'agir sur le corps
du receveur, ainsi ses paumes de main, ses doigts, ses avant-bras, ses genoux ou bien encore ses pieds
peuvent participer à atteindre son objectif.
Le Massage traditionnel thaïlandais se pratique au sol sur un futon.
La personne qui en bénéficie reste vêtue d'un ensemble souple, permettant aisance et flexibilité des mouvements.
Aucune huile ou crème n'est utilisée hormis dans certains cas particuliers.
La vocation de ces actions combinées est un traitement corporel complet qui participe au bien-être en général.
Le massage permet de :
Atténuer les tensions musculaires, car environ 60% du poids du corps est le produit des muscles,
Soulager les douleurs, en améliorant la circulation du sang et du système lymphatique,
Prévenir, le massage contribuant à la régénération des tissus en augmentant les échanges dans le corps et
en stimulant l’élimination des toxines,
Guérir, en accélérant la circulation de la lymphe, le massage augmente les capacités du système immunitaire,
Favoriser l'assouplissement, en provoquant des étirements,
Rétablir l'équilibre énergétique, en favorisant la circulation de l'énergie de la vie à travers les
grands canaux du corps (Sen-Sib).
La pratique du massage traditionnel thaïlandais s'inscrit comme un moyen d’équilibrer à
la fois le corps physique et l’énergie vitale selon la théorie des Sen-Sib et la théorie
des 4 éléments essentiels à la vie : la Terre,
l'Eau, le Vent et le Feu.
La théorie des Sen-Sib
D’anciens écrits à propos de la médecine traditionnelle thaïlandaise indiquent qu'il existe 72.000 lignes
d’énergie émanant de la cavité abdominale.
L’ensemble de ces 72.000 lignes d’énergie se répartit depuis la cavité abdominale à travers tout le corps
via 10 principaux canaux d'énergie de la vie appelés "Sen-Sib" ( Sen : canaux,
Sib : dix ).
On les apparente également aux méridiens ou aux nadis qui sont à la base de la médicine traditionnelle
chinoise et à la médicine traditionnelle ayurvédique indienne respectivement.
Ces 10 canaux d’énergie de vie sont à la base du massage thaïlandais thérapeutique.
* Référence : Thai Massage the Thai Way – Healing Body and Mind
En savoir +
A l’ère de la modernité, l’intellect est la plupart du temps privilégié à l’insu de l’activité corporelle,
ainsi les stimulations sensorielles tel que le toucher ont depuis fort longtemps été délaissées voire occultées.
Pourtant, le toucher n’est-il pas un réflexe ancestral qui appartient à l’Homme, quelle que soit son
origine
et sa culture ?
Depuis fort longtemps, le contact corporel a probablement été utilisé entre les Hommes, de manière
instinctive ou bien selon des critères rigoureusement définis.
Si, en Orient, le contact corporel a toujours été plus ou moins cultivé par différentes traditions,
il en est autrement en Occident où l’avènement de la morale judéo-chrétienne, en dépréciant le corps,
et probablement l’élan rationaliste encouragé par Descartes (en considérant l’avantage de la raison sur le ressenti),
ont probablement participé à séparer le corps et l’esprit.
L’air du temps aspire à retrouver ces stimulations corporelles, ainsi le massage tout comme d’autres
techniques d’édification personnelle (yoga, naturopathie, méditation etc.) en devient à la fois instrument
de guérison et de développement personnel.
Histoire, origine et bienfaits du massage traditionnel thaïlandais*
L’origine du massage traditionnel thaïlandais ( Nuad Bo Rarn ) est étroitement liée à
l’histoire du peuple thaïlandais, à l'émergence de leur culture unique et de leurs valeurs traditionnelles.
A la croisée des principales routes commerciales de l’Asie, la culture thaïlandaise a hérité de la rencontre
des techniques ayurvédiques de l’Inde et des techniques traditionnelles chinoises.
Le massage initialement pratiqué par la communauté des moines bouddhistes, fait partie de l’un des 4 domaines
d’applications de la médecine traditionnelle thaïlandaise qui comprend :
1 La guérison médicinale traditionnelle thaïlandaise
2 L'obstétrique (les sages-femmes)
3 La médecine orthopédique
4 Le massage traditionnel thaïlandais
Historiquement, des preuves sous forme d’archives et d’enregistrements officiels datant de l’ère
d’Ayutthaya (1455/JC) viennent documenter et prouver l’existence du domaine des massages organisés
dans le but de servir la famille royale. Cependant cela ne signifie pas que la pratique du massage
thaïlandais soit née à cette période.
Pour avoir une réflexion à propos de l’origine du massage thaïlandais, il est nécessaire de s’attarder
sur l’origine des thaïlandais eux-mêmes ainsi que sur l’ensemble des concepts de leur médecine traditionnelle
et la corrélation avec la religion bouddhiste.
L'origine des thaïlandais a longtemps été un sujet de controverse pour les historiens aussi bien thaïlandais
que étrangers. Des recherches de grande envergure couvrant de nombreuses disciplines telles que l'histoire,
la linguistique, la biologie, l'anthropologie, ou l'archéologie ont été menées à ce sujet.
On suggère que les premières migrations de peuples thaïlandophones habitant de vastes zones couvrant la Chine méridionale,
en particulier les provinces du Guangdong et du Guangxi, ainsi que la partie sud de la province du Yunnan datent du 2ème
siècle après J.C.
Plusieurs groupes ethniques thaïlandophones ont également été identifiés dans le nord du Vietnam, l'État Shan de
Birmanie, et de l'Assam. Tous vivent encore sous forme de clans et continuent de mener leur mode de vie traditionnel.
Les Thaïlandais sont arrivés dans la région de l'actuelle Thaïlande autour du Xème siècle.
L’apparition du bouddhisme dans le royaume du Siam annonçait l’émergence du peuple thaïlandais. A ce jour,
la majorité des thaïlandais sont des bouddhistes Theravāda.
Les écritures saintes et les enseignements rendent compte du fait que le bouddhisme et la médecine traditionnelle
se sont mêlés au cours du temps.
A ce jour les seules preuves indéniables de l’origine des massages thaïlandais se limitent aux archives et
enregistrements officiels datant de l’ère d’Ayutthaya (15ème siècle).
En ce qui concerne l’origine des massages thaïlandais, il n’est pas si évident de tirer des conclusions car
il n’existe pas de preuves réelles, aucune archive ne faisant foi de ‘quand’ ou ‘comment’ est née la théorie
des Sen-Sib n’a jamais été trouvée.
La théorie des Sen-Sib repose sur 3 anciens documents principaux :
1. Tamla Loke Nitan, un texte ancien sur l’histoire médicinale thaïlandaise datant du règne du Roi Rama II,
et rédigé par Phraya Wichayatibbodee (Klom), ancien gouverneur de la province Chantabun entre 1809 et 1824.
2. Des inscriptions sur tablettes de marbre du célèbre temple Wat Pho de Bangkok datant du règne du Roi Rama III
entre 1824 et 1851, décrivant les Sen-Sib, leurs noms et attributs médicinaux, ainsi que les points de pression spécifiques
au traitement de maladies variées.
3. Un texte ancien sur la médecine traditionnelle thaïlandaise rédigé et archivé à la demande du Roi Rama V en 1870.
La théorie des Sen-Sib et la théorie des 4 éléments.
Le massage traditionnel thaïlandais est basé sur 2 théories : la théorie des Sen-Sib et la théorie des 4 éléments.
La théorie des Sen-Sib
D’anciens écrits à propos de la médecine traditionnelle thaïlandaise indiquent qu'il existe 72.000 lignes d’énergie
émanant de la cavité abdominale.
L’ensemble de ces 72.000 lignes d’énergie se répartit depuis la cavité abdominale à travers tout le corps via 10
principaux canaux d'énergie de la vie appelés "Sen-Sib" ( Sen : canaux, Sib : dix ).
On les apparente également aux méridiens ou aux nadis qui
sont à la base de la médicine traditionnelle chinoise
et à la médicine traditionnelle ayurvédique indienne respectivement.
Ces 10 canaux d’énergie de vie sont à la base du massage thaïlandais thérapeutique.
La théorie philosophique du massage thaïlandais est similaire à celle du massage ayurvédique indien qui est basée
sur les canaux d'énergie de la vie et sur la conviction que le bien-être et la santé d'un individu repose sur le bon
équilibre de son énergie vitale.
L'énergie vitale dans le massage thaïlandais est appelée "Prana", qui signifie
le "Vent" de la vie.
L'obstruction de la circulation du Prana peut causer des troubles ou des maladies chez un individu. Les Sen-Sib
étant les principaux canaux par lesquels l'énergie circule dans le corps, ils nécessitent un entretien régulier
pour éviter tout blocage ou stagnation.
Correctement appliqué, le massage traditionnel thaïlandais peut éliminer les blocages qui pourraient obstruer le
flux d'énergie dans les Sen-Sib et ajuster l'équilibre du corps et de l'esprit.
Depuis l’antiquité, les thaïlandais ont exercé des pressions par le toucher sur des points selon les Sen-Sib afin
de soigner certaines maladies. Encore aujourd'hui, ces points de pression sont utilisés dans le massage traditionnel
thaïlandais thérapeutique pour soulager des affections courantes.
Les caractéristiques des Sen-Sib
Chacun des 10 canaux d’énergie part approximativement depuis le nombril et chacun d’entre eux se termine
à des parties différentes le long du corps.
Ces canaux sont invisibles à l’œil nu, il ne s’agit ni des vaisseaux sanguins, ni du système nerveux,
ni des ligaments et tendons comme on pourrait le déduire.
Il y a un "Vent" (étant le souffle de la vie) qui traverse le corps à travers ces canaux.
Si un canal est obstrué, le "Vent" alors bloqué peut causer une maladie.
Des points de pression par le toucher à des emplacements spécifiques le long de ces canaux affectent le "Vent"
lorsque le point est pressé.
Les thaïlandais à l’origine de l’art traditionnel du massage ont adopté des noms spirituels pour les Sen-Sib.
Ils utilisaient le langage Sanskrit pour des concepts tels que les Sen-Sib, ce qui est compréhensible puisqu’ils
adoptaient souvent des noms Sanskrit pour eux-mêmes.
Voici la liste des noms des Sen-Sib et leur emplacement sur le corps :
( Dans un souci de simplicité lorsque nous mentionnons les Sen-Sib, nous nous
référerons aux noms mentionnés comme tels depuis le 18ème siècle au sein du temple Wat Pho de Bangkok.)
ITHA et PINGKLA
SUMMANA
KANLATAREE
HADSARANGSRI et TAWAREE
JANTAPUSANK et RUSUM
SUKUMANG et SIKINEE
La théorie des 4 éléments
L’élément Terre :
Les 20 parties du corps représentées par l'élément Terre sont celles aux propriétés solides telles que :
les cheveux, les poils, les ongles, les dents, la peau, les muscles, les tendons, les os, la moelle-osseuse,
la rate, le cœur, le foie, les ligaments, les reins, les poumons, le côlon, les intestins, l'estomac, le rectum,
et le cerveau.
L’élément Eau :
L'élément Eau représente la partie fluide de la vie, qui coule et qui est absorbée dans le corps.
L'élément Eau réside dans l'élément Terre et nécessite l'élément Vent pour son mouvement.
L'élément Eau est composée d'environ 12 substances produites par le corps. Il s'agit de la bile,
le mucus, la lymphe, le sang, la sueur, la graisse liquide, la graisse solide, les larmes, la salive,
le mucus nasal, le liquide synovial
( lubrification des articulations ) et l'urine.
L’élément Vent :
L'élément Vent représente la légèreté et la circulation dans tout le corps. C'est la partie de la vie qui fournit
l'énergie du mouvement dans toutes les activités et les fonctions. Il existe 6 types de flux d'énergie éolienne
dans le corps.
Le premier vent s’écoule de la partie inférieure à la partie supérieure du corps. Le deuxième vent s'écoule
depuis la partie supérieure à la partie inférieure du corps.
Le troisième vent circule à l'intérieur de la cavité abdominale, mais en dehors de l'estomac et des intestins.
Le quatrième vent circule à l'intérieur de l'estomac et des intestins.
Le cinquième vent circule dans tout le corps via la circulation sanguine.
Enfin, le sixième vent est le souffle de l’inhalation et de l'exhalation.
L'élément Feu :
L'élément Feu représente la chaleur et l'énergie de la vie. Le feu a pour nature de chauffer,
brûler et détruire. Son rôle dans le corps est inhérent aux 3 autres éléments car il aide les éléments
Vent et Eau à circuler à la bonne température et réguler l’énergie thermique.
Il maintient l'élément Terre
à la température requise afin de maintenir les organes du corps sains.
Il existe 4 types d'éléments Feu au sein du corps.
Premièrement le feu qui maintient le corps chaud et qui se situe à proximité des poumons.
Deuxièmement le feu qui crée l'activité et qui se situe près du coeur. Troisièmement le feu qui permet la
digestion et se situe dans les organes digestifs.
Enfin, le quatrième feu qui provoque la détérioration du corps et qui se situe dans la partie inférieure du corps.
La clé pour se maintenir en bonne santé est l’équilibre de ces 4 éléments fondamentaux.
Un déséquilibre de l’un ou de l’autre peut causer des maladies. La Terre a besoin d'eau pour
ne pas se dessécher. Elle a besoin du vent afin de maintenir sa forme et son mouvement,
elle a besoin du feu et de la chaleur pour l'empêcher de s’altérer.
L'eau s'écoule dans la terre et repose sur le vent afin de circuler.
Le vent s'accroche à l'eau et à la terre pour entretenir son mouvement.
Le feu émet l'énergie qui maintient tous les éléments sains.
Les 4 éléments doivent être en harmonie et en équilibre pour assurer le bien-être.
Tout blocage au sein des Sen-Sib peut être dû à un manque d'équilibre entre ces éléments de la vie.
Cette théorie anatomique antique est à la base de la médecine traditionnelle thaïlandaise et des massages thaïlandais.
La réflexologie plantaire**
La réflexologie plantaire traite les maladies fonctionnelles des organes perturbés dans leur vascularisation
et leur innervation. Au niveau du pied, la pathologie observée se traduit dans la zone réflexe de l'organe
par une sensibilité douloureuse due à un dépôt de cristaux qui congestionne les tissus.
Cette zone réflexe est appelée "point réflexe".
La pression sur le point réflexe crée une onde électromagnétique qui emprunte la voie afférente
sensitive du nerf rachidien puis atteint la moelle épinière et gagne le cerveau (hypothalamus régulateur du système
neuro-végétatif). L'encéphale traite les informations reçues et induit dans l'organisme, par les voies efférentes,
des réactions physiologiques rétablissant un équilibre neurovégétatif adapté au dérèglement de l'organe ou de la zone concernée.
Référence :
Thai Massage The Thai WAY : Healing Body and Mind
Réflexologie Thérapie Totale – Dr Martine Faure-Alderson
Liens :
http://www.tmcschool.com/ (Ecole de massage Thaïlandaise)
http://www.thaimassagebook.com/ (Livre référence– méthode )
http://www.ffmbe.fr/ (Fédération Française de massage de bien être)
http://www.namochiangmai.com/ (Ecole de massage Thaïlandaise)
http://www.ecole-de-massage.com/index.html (Ecole de massage Thaïlandaise)
http://www.rttfa.com/ (Ecole de réflexologie Française)
Crédits :
Photos:
"Monk at Golden Rock"
© David LAZAR - http://www.davidlazarphoto.com/
"Statues in Hue, Vietnam"
© Paul LEVRIER - http://www.visions-of-indochina.com/
Site Web:
Conception graphique & visuelle
Christoff RISKWAIT - http://www.riskwait.book.fr/
& Penelop6 - julepstuff@gmail.com
Développement et intégration Christian T. CHUNG - http://www.webgrapher.fr/
Remerciements :
TMC School of Chiang Mai – Julia LARCHET – Christoff RISKWAIT – Christian T. CHUNG –
Alain THOMAS – Myriam NASSIH – Maï Le FLOCHMOEN – Vous
Et le très honorable professeur Dr Jiwaka KOMARAPHAT
Serment du praticien de massage thaïlandais
1. Je m’engage à me consacrer à la profession de masseur dans
le but d’améliorer la santé et le bien-être des personnes.
2. Je m’engage à respecter strictement les règles de l’éthique professionnelle du
massage thaïlandais.
3. Je m’engage à toujours étudier davantage et améliorer mes connaissances dans le but
de maintenir des performances optimales dans la pratique du massage.
4. Je m’engage à maintenir ma dignité, toujours faire honneur à
la profession du massage thaïlandais et soutenir l’harmonie au sein de la profession.
5. Je m’engage à tenir ce serment en tout temps au cours de
ma pratique professionnelle.
Charte éthique du praticien de massage thaïlandais
1. Assurer la protection et le soin pour le bien-être des personnes ainsi que l’égalité du
service pour tous.
2. Défendre l’exercice avec honnêteté, compassion et absence de cupidité, et respecter la loi et l'ordre.
3. Continuer à étudier afin d’améliorer la connaissance du massage thaïlandais par le biais des
textes anciens et des enseignants ; participer en partageant les connaissances avec la communauté professionnelle
dans le but de maintenir un haut niveau et fournir un meilleur service au public.
4. Maintenir la confidentialité des clients et ne pas divulguer des informations sans leur permission.
Être humble et ne pas agir malhonnêtement, ne pas commettre d’impolitesses, témoigner de la pudeur vis
à vis du bénéficiaire.
5. S’abstenir de tous les excès et les tentations, c’est à dire l’abus d’alcool, le tabac ou de s’adonner
à des actes socialement inacceptables et insalubres.
6. Honorer et coopérer avec les autres confrères dans la profession du massage thaïlandais afin d’en faire
profiter les bénéficiaires.
7. Coopérer et collaborer avec des organismes impliqués dans l'amélioration de la profession
du massage thaïlandais traditionnel. Consacrer du temps, des connaissances et d’autres moyens
afin de faciliter l'organisation des activités.